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Les sorcières de Stambruges vous souhaitent la bienvenue
En 1987, le groupe fût formé lors de la ducasse du village.

Le premier masque était fabriqué en papier maché
moulé sur un masque en plastique. Lors de la deuxième
année, respectueux des matériaux d'époque, les
masques en papier furent remplacés par des masques en cuir.
Afin de respecter, les matériaux d'époque, l'ensemble de
la tenue des sorcières est composés de cuir (masque et
bourse), de laine (mitaine et chaussettes), de bois (sabots, collier et
balai) et de l'herbe représentant la forêt de Stambruges
(perruque).
Comme chaque groupe folklorique ou de légende, notre groupe
essaie de représenter au mieux le folklore et les
légendes vivantes de notre village et du bois de Stambruges.
En 2003, 2013 et 2017, nous avons participé aux fêtes du 15 août en Outremeuse

En 2018, nous avons inauguré dans le village, une sorcière en notre honneur suite à un don d'un villageois.

En 2019, inauguration d'un géant à notre effigie,
réalisé en collaboration avec l'institution pour
personnes handicapées "Les chanterelles". Ce géant fut
réalisé lors d'atelier avec les résidents de
l'institution. Lors de manifestation dans le village, il nous
accompagne, porté par les résidents.
 
En 2022, participation aux fêtes de Wallonie à Liège

En 2024, création du groupe l'Othée des fées selon la légende :
"A l'est de Stambruges, le bois de la "Othée des
fées", situé au-delà de la Chapelle de Notre-Dame
du Buisson, fut d'après la tradition, consacrée au culte
druidique. Ce site rappelle une légende.
Des fées bienfaisantes lavaient et ravaudaient le linge sale des
habitants, au bord des flaques d'eau pluviale éparpillées
sur la grande-Bruyère et l'Othée de Fées, vers la
Garenne.
Il suffisait de déposer ce linge le soir, à ces endroits
avec quelque nourriture, et le lendemain, on pouvait le reprendre
lavé et repassé; mais les fées restaient
invisibles. Un jour, elles disparurent, on ne sait comment ni pourquoi.
Mais certaines personnes assurent qu'elles s'en allèrent parce
que des malintentionnés leur auraient joué des mauvais
tours, comme de déposer, au lieu de pain, des choses
inconvenantes.
Certaines personnes prétentent qu' au lieu de fées, c'étaient de petits bonhommes noirs, hommes et femmes.
On voit encore le long de la Route Brulée, vers le Happart,
l'excavation où les fées habitaient. Elle a
été en partie remblayée lors de la construction de
cette avenue vers 1750." (Extraits du petit Campenaire N 8 avril
1994)
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